LES DÉPLACEMENTS

 

 

L’arrivée à Sucy venant de Noiseau

 

La route départementale n° 136 traverse la commune à sa partie médiane. Elle assure une liaison courte et rapide entre la route nationale 4 à la Queue-en-Brie et la nationale 19 à Boissy-Saint-Léger.  Ce panneau surchargé n’est pas particulièrement esthétique. On se trouve pourtant à l’une des plus belles entrées de Sucy. A droite, c’est le parc de la Garennière. De l’autre côté, la route longe le Bois des Bouleaux qui marque ici la plus proche avancée de la Forêt Notre-Dame.


 

 

 

 

 

C

e qui caractérisait notamment cette fin de XXe siècle, c'était le considérable développement pris par les transports individuels et publics. Cent ans plus tôt, la population était par force casanière. On se mouvait surtout à pied. Seule la bicyclette — une invention encore récente à cette époque— avait multiplié, mais par trois ou quatre seulement, le périmètre ancestral du déplacement ordinaire. Même si Sucy profitait depuis 1872 d'une gare de chemin de fer, celle-ci n’avait été desservie jusqu’en 1969 que par un tacot poussif et poussiéreux, bien utile cependant pour aller à Paris. Pour le reste, seuls les gens ayant les moyens de se payer un « chauffeur », ou assez argentés et un peu mécaniciens pour affronter sans appréhension des routes pleines d’embûches, se trouvaient en mesure, dans le premier quart — voire la première moitié — du précédent siècle, de se risquer dans l’achat d’une voiture automobile. Quant à l'avion, avant la Seconde Guerre Mondiale, c'était encore, un dangereux objet de curiosité, pas du tout un moyen habituel de transport.

 

Ce XXe siècle, tragique et décevant par bien des côtés, avait été en matière de locomotion un siècle de progrès, inimaginables pour ceux qui avaient vécu à ses débuts et même largement après. En l'an 2000, tout le monde ou presque était susceptible de disposer d'une voiture. Nombreuses étaient les familles qui en possédaient deux, quelquefois trois. On s'en servait couramment, même avant la fin de l’adolescence et inversement jusqu'à un âge très avancé, y compris pour effectuer de courts trajets.

 

Les transports publics avaient profité eux aussi de ces énormes avancées techniques. On voyageait confortablement sur les routes dans des autobus ou des autocars. Sur des voies ferrées, on pouvait emprunter des trains dont la « très grande vitesse » allait jusqu’à concurrencer les avions de ligne sur des distances de 500 à 800 kilomètres, bientôt plus !

 

Le développement de tous ces moyens de transports n’était pas forcément un bien pour ceux qui se trouvaient sur leurs parcours. Les motocyclettes, les automobiles, les camions étaient à la fois des engins bruyants, polluants et encombrants, voire dangereux. Il en était de même dans le voisinage immédiat d’une ligne de chemin de fer. Le passage des trains, surtout de marchandises, représentait une source non négligeable de désagréments. C’était le cas aussi des avions lorsqu’ils atterrissaient ou décollaient d’un aérodrome voisin.

 

 

L'infrastructure routière

 

A ce moment de son histoire, l'une des caractéristiques intéressantes de la commune de Sucy était de se situer à proximité quasi immédiate d’axes routiers importants sans se trouver pour autant traversée, coupée, quadrillée par eux ! Cette chance, elle la devait à sa situation géographique sur un escarpement de plateau assez raide, se dressant brutalement à 60 mètres au-dessus de la vallée.

 

Dès les origines, cela avait détourné le tracé d’une grande voie de communication à travers la vaste presqu’île que dessine la Marne en enserrant le territoire de Saint-Maur. Depuis toujours, les deux routes quittant Paris en direction du sud s’en étaient sagement écartées. L'une, devenue la nationale n° 4 Paris/Nancy, a franchi la Marne a Joinville-le-Pont, puis longé le cours de la rivière avant d'escalader obliquement le plateau de Champigny en direction de la Queue-en-Brie. L'autre, devenue la nationale n°19 Paris/Troyes, a cherché plus au sud un tracé entre Marne et Seine. Ce qui l’a fait passer par Créteil, Bonneuil et Boissy-Saint-Léger. Toutes deux ont ainsi délaissé la traversée de Sucy dont le territoire n'était même pas effleuré. Ces itinéraires divergents ont en outre dessiné sur la carte une sorte de cône tronqué protégeant, au-delà de Sucy, la Forêt Notre-Dame ainsi que les communes de Seine-et-Marne qui lui faisaient suite, telles que Lésigny et la Grande Romaine, Férolles-Attilly, Chevry-Cossigny et d’autres, nichés plus loin encore dans les beaux paysages de la campagne briarde, pour un temps préservés. Tout cela composait une sorte de coin vert miraculeusement enfoncé dans le sud-est de l’agglomération parisienne.

 

C’était pour cela que Sucy avait longtemps échappé aux conséquences de l'énorme trafic qui surchargeait à la fin du XXe siècle ces deux routes nationales à raison de 53 000 véhicules par jour et jusqu’à 5 000 véhicules par heure aux périodes de pointe. Années après années, la situation s’était encore aggravée. Aux heures les plus chargées, c'est-à-dire le matin en direction de Paris et dès le milieu de l’après-midi, au moment du retour vers des banlieues encore un peu agrestes, beaucoup d’habitués se voulaient habiles. Pour éviter les « bouchons» de la RN 19 et de la RN 4, du pont de Chennevières ou de la traversée de Saint-Maur, etc., ils traversaient Sucy par les Bruyères, le Plateau ou le Centre ville. Ce surcroît de circulation s’ajoutait aux flux naturels de rocade entre les grandes routes nationales. Il augmentait la gêne causée par ceux qui se rendaient en voiture à la gare RER de Sucy-Bonneuil.

 

D'après une étude réalisée en 1996 par un cabinet indépendant, il fallait néanmoins relativiser l’importance de ces nuisances[1]. Les voies départementales étaient calculées pour supporter un écoulement moyen de 10 000 véhicules par jour. Ce qui n'était même pas encore atteint sur la rue de Marolles (6 000 véhicules jour) ou sur la rue de Villeneuve (5 000 véhicules jour). Ce n'était vraiment et largement franchi que sur la route départementale n° 60. Celle-ci représentait depuis Bonneuil le principal passage permettant d’accéder aux voies de communication départementales ou communales situées entre les deux grandes routes nationales 4 et 19. Il y passait journellement une moyenne de 26 000 véhicules. Le trafic se partageait ensuite de part et d'autre des Portes de Sucy. Le soir, les deux tiers des conducteurs prenaient à main gauche les directions de Chennevières ou d'Ormesson qu'ils rejoignaient par les rues du Général-Leclerc ou Maurice-Berteaux. Les autres bifurquaient à main droite, soit pour se diriger vers Ormesson par la rue Pierre Sémard en encombrant le centre ville, soit pour enfiler l'espèce de rocade que constituaient d'abord la rue de Villeneuve, puis l'avenue du Piple et la rue Albert-Dru qui lui faisait suite. De là, on pouvait facilement s'engager dans les directions de Noiseau, Boissy-Saint-Léger ou Marolles-en-Brie. Il en résultait que toutes ces rues, calmes en temps ordinaire, se trouvaient saturées les matins et soirs de chaque jour ouvrable[2].

 

Tout le monde était d'accord à Sucy pour souhaiter la disparition de cette circulation parasite qui troublait à certaines heures l'agréable isolement de la commune. La solution ! Il en existait au moins une dont la réalisation était réclamée depuis quinze ans. Il s'agissait de dévier la RN 19 pour lui faire traverser Boissy-Saint-Léger en voie autoroutière partiellement enterrée, mais empiétant quelque peu sur la Forêt régionale

 

 

L’encombrement du centre ville un jour de marché

 

On est ici sur l’emplacement de l’ancienne ferme de Pacy.. Les maisons anciennes, toujours en place à l’arrière plan, longent la rue Maurice-Berteaux. Elles accentuent le contraste entre les voitures de cette époque et l’aspect involontairement conservé du village d’antan.

 

 

 

 

 

 

Sucy protégé par la boucle de la Marne

 

La route de Troyes (RN 19) menant vers le sud-est, et la route de Nancy (RN 4) en direction de l’est, ont été de tout temps tracées tangentiellement à la boucle formée par la Marne avant sa jonction avec la Seine à l’entrée de Paris. Au centre, le trait noir incomplet correspond à cette époque au projet VDO.

 

 

La Gare de Sucy

 

A l’extrême gauche,on devine les deux voies du chemin de fer de Grande Ceinture. Les longs trains de marchandises qui y circulent à peu près exclusivement ne s’arrêtent pas à Sucy. Ce sont ensuite les deux voies du RER. La rame arrêtée est déjà d’un modèle ancien. A droite, les voies de triage, souvent vides, viennent du port fluvial de Bonneuil. Au fond, se profile le vieux, étroit et pour l’heure disgracieux pont routier en ciment, dit de la Verrerie. A ce titre, il fait partie de l’histoire de Sucy. Certains y voient déjà un vestige caractéristique de l’ère industrielle. La photo est  prise depuis le pont de la rue de Paris, guère moins laid. Les deux routes se rejoignent vers la droite devant les Portes de Sucy. Au loin, on discerne les hauteurs de Boissy-Saint-Léger. La bizarre baraque d’un beau bleu foncé, que l’on aperçoit en second plan correspond à l’entrée des voyageurs ayant stationné leur voiture sur le Parking à droite. Pour y accéder, ils empruntent la passerelle arachnéenne au style bien différent de celui des deux ponts routiers.

 

 

Autobus et abribus

 

Depuis 1986, des autobus parisiens desservent la commune de Sucy.

Celui de la ligne 308, qui relie Créteil et sa préfecture à la gare de Villiers-sur-Marne, marque ici l’arrêt devant « l’aubette » située à proximité de la mairie .

de Grosbois. Les plans en avaient été faits et soumis à l’enquête rituelle d’utilité publique. Seul l’argent manquait encore !

 

Dans ces conditions, pouvait-on compter sur la réalisation d'un autre projet, vieux de trente ans celui là. Il aurait dû assurer une liaison directe entre la RN 19 et la RN 4. Sucy avait déjà évité que le tracé autoroutier prévu en traversât la partie urbanisée de son territoire[3]. Il ne s'agissait plus à ce moment que de prolonger une voie express, dite « Voie de desserte orientale (VDO). Partiellement ouverte depuis octobre 1995, elle déversait son trafic sur la RN 19, contribuant ainsi à l’encombrer un peu plus tout en « bouchonnant » elle-même. On espérait la mener prochainement jusqu'à la RD 60 à proximité immédiate des Portes de Sucy. Ce qui aurait tout au moins permis aux camions poids lourds de rejoindre les zones d'activité sans avoir à se perdre dans le dédale des voies secondaires[4]. Au delà et surtout à l’entrée sur le territoire d’Ormesson, la poursuite des travaux paraissait d’autant plus problématique qu’il eût fallu frayer dans quelques kilomètres de pavillons bourgeois et massacrer les avancées d’un noble château.

 

 

Les transports publics

 

Si les grandes routes avaient heureusement évité Sucy, ce qui était l'un de ses atouts, la commune possédait un autre avantage particulièrement apprécié. Celui d’être desservie par le Réseau express régional (RER). L'utile mais incommode ligne de la Bastille n'était plus, dans la mémoire de ceux qui l'avaient connue, qu'un amusant souvenir fait d'inconfort et de charme suranné. Depuis 1970, toutes les dix minutes entre 5 heures 05 et 1 heure 12, un train s'arrêtait à la gare de Sucy-Bonneuil. Une demi-heure après, les voyageurs se retrouvaient en plein Paris, en liaison directe avec le métro et les autres gares.

 

Ce n'était pas que les voyages fussent considérés comme très confortables. D'abord il y avait les arrêts : huit avant l'arrivée à la Nation. L'antique ligne de la Bastille avait eu au moins l'avantage des trains express qui « brûlaient » les stations intermédiaires et arrivaient à Paris à peu près aussi vite que le « moderne » RER. En outre les places assises étaient étroites et dures, souvent « taguées »[5] ou maculées par les chaussures de certains voyageurs, sans vergogne et souvent sans billets, dans les périodes de moindre affluence, surtout le soir. A ces moments, sentiment d’insécurité aidant, peu de voyageurs auraient osé réagir. Quant aux heures de pointe du matin et du soir, tous les sièges étant occupées, on voyageait le plus souvent debout et très serré sur une bonne moitié du trajet.

On disait la gare de « Sucy-Bonneuil ». En fait, cette station se trouvait aussi loin de Bonneuil que du Plateau de Sucy et encore plus du quartier des Bruyères. Les distances se comptaient en kilomètres. Jadis on les faisait à pied et dans la boue. Maintenant, des cars du Syndicat intercommunal de transports urbains (SITUS) attendaient les voyageurs à la gare pour les conduire par huit lignes différentes dans les différents quartiers d'habitation de Sucy, y compris les plus éloignés, ainsi que dans les communes voisines. Mais ces « bus » étaient incomparablement moins nombreux que les trains, surtout aux heures creuses. En outre, les correspondances devenaient à certains moments difficiles à assurer du fait de la densité du trafic automobile et des retards du RER.

 

A la gare, se croisaient deux lignes d'autobus. Il était déjà loin le temps où les services de la Régie parisienne des transports refusaient de franchir les limites de l'ancien département de la Seine. L'une de ces lignes, qui avait son terminus ici, suivait un itinéraire assez capricieux qui menait lentement ses voyageurs vers Villejuif, via Créteil, le carrefour Pompadour et Choisy-le-Roi. C'était l'autobus 393. L'autre, le 308, allait de la préfecture de Créteil à Villiers-sur-Marne. Mais il ne faisait que s'arrêter à la gare de Sucy et desservait longuement, en zigzag, la zone industrielle des Petits Carreaux.

 

L'autobus n'était qu'un palliatif. Ceux qui étaient forcés de l'utiliser se montraient très attentifs à plusieurs projets dont on discutait l’intérêt et le bien-fondé depuis une dizaine d'années. Outre la prolongation jusqu'à Sucy de la ligne n° 8 du métro menant depuis la place Balard jusqu’à Créteil, n'était-il pas prévu de faire arriver à Sucy une nouvelle ligne « Eole » partant de la gare Saint-Lazare et traversant la banlieue nord-est[6] ! Si la création d'un métro automatique, tracé autour de l'Île-de-France et dénommé à ce titre « Orbitale »[7], semblait bien avoir été provisoirement abandonnée, il était à ce moment question, pour l'année, 2005 de l’arrivée d'un autobus en site propre, voire d'un tramway, allant de Villejuif à Sucy..

 

 

La proximité de l’aérodrome d’Orly

 

Un autre privilège de la commune, n’était-ce pas la proximité relative de l'aéroport d'Orly ? Treize kilomètres à vol d'oiseau. En fait, une vingtaine par les voies autoroutières. Un peu moins par Villeneuve-Saint-Georges, mais avec les aléas, sur l’un ou l’autre de ces itinéraires, des retards dus aux fréquents « bouchons ». À Orly, on pouvait laisser sa voiture dans de vastes parkings aux prix assez prohibitifs. Mais le mieux était encore de faire appel à l'un des sept artisans taxis basés dans la commune. D'ailleurs, aucun autobus ne menait à cet aéroport. Le moyen le plus simple, le moins onéreux et surtout le moins hasardeux pour ne pas se présenter en retard à l’embarquement était encore de prendre le RER jusqu'au Châtelet. De là, on avait le choix. Que ce fût vers le sud pour rejoindre Orly moyennant néanmoins un grand détour, mais également et plus directement vers le nord pour gagner le principal aéroport parisien de cette époque, celui de Roissy - Charles de Gaulle.

 

Loin d’être un avantage, ce voisinage d'Orly était plutôt considéré comme calamiteux par les habitants des quartiers de l'Est sucycien, particulièrement ceux des Bruyères. De 6 heures du matin à 11 heures 30 du soir, et quelquefois dans la nuit, ils voyaient et surtout entendaient passer chaque jour au-dessus de leurs maisons plus de 300 avions, dont certains se suivaient de 1 minute 30 à 2 minutes aux heures de grand trafic[8]. Dans ces régions où les vents dominants viennent de l'ouest, il s’agissait le plus souvent d’avions se présentant de face à l'atterrissage avec des moteurs réduits, donc pas trop assourdissants. Naviguant aux instruments et guidés par la balise OYE 349 située place Jules Combernoux à Boissy-Saint-Léger, juste en dessous de la limite des deux communes, ils se fixaient sur un axe débutant à hauteur du pavillon des Friches dans la Forêt Notre-Dame. Cela les amenait à survoler, à la verticale et à des altitudes entre 600 et 800 mètres, donc relativement basses, le quartier des Bruyères entre le carrefour de la Patte-d’Oie et l’avenue Notre-Dame

 

Le passage de ces beaux engins volants, brillants au soleil et pleins de puissance retenue, aurait pu être considéré comme un moindre mal, voire comme une incitation à rêver de voyages et de terres lointaines. Il n'en était pas de même du bruit. On s’y habituait difficilement. La ligne de descente se situant — pour la piste3 qui est la plus utilisée — à deux kilomètres du clocher de Sucy, les habitants du centre ville se sentaient moins gênés que ceux du Plateau ou des Bruyères. En revanche, ils l’étaient eux aussi lorsque les avions décollaient à pleins moteurs face aux vents venant du nord-est, de l’est ou du sud-est. Ce sont heureusement en Île-de-France les moins fréquents. Ils ne soufflaient alors que pendant 110 à 130 jours par an. Mais quand c'était le cas, le bruit s’en trouvait d’autant amplifié. Les plus sages ou les plus optimistes, en déduisaient que le rugissement des réacteurs au départ, certes désagréable, était souvent aussi le signe de temps sec et de ciel limpide.

 

Ce fut surtout pour réagir contre ces nuisances sonores qu’une Association de défense s’était créée réunissant les habitants de toutes les communes survolées. Normalement, les avions quittant Orly n’auraient pas dû changer de trajectoire avant d'avoir franchi une distance de 6,5 milles nautiques, soit 12 kilomètres, et atteint l'altitude de 3 000 pieds, soit 972 mètres. Ce qui devait les amener exactement à l'entrée de la Forêt Notre-Dame. Pour gagner du temps, donc de l’argent, la grande majorité des pilotes obliquaient beaucoup plus tôt vers le sud. Mais ces virages en cours de montée rendaient encore plus perceptible le bruit des moteurs tournant à haut régime. Surtout s'il s'agissait de modèles d'avions déjà anciens considérés comme particulièrement sonores. Interrogé par le sénateur maire de Sucy, le ministère avait promis qu'il n'y en aurait plus après 2002[9]...

 



[1] AM, Sucy Info, n°164, juin 1996, page 12.

[2] AM, Document rédigé par Jean-Claude AMSLER, adjoint au maire de Sucy, délégué aux transports et aux finances.

[3] AM, Sucy Info, n° 119, février 1990.

[4] AM, Sucy Info, n° 181, octobre 1999, page 26, Vœux du conseil municipal dans le cadre de la préparation du XIIe  plan État Régions.

[5] On dit aussi « bombé » ou « graphité ». Le verbe « taguer » dérivé d'un mot anglais « tag » qui signifiait « insigne ». Il avait été introduit en France une vingtaine d'années auparavant, Selon les dictionnaires, il s'agissait d'une sorte de signature codée « formant un dessin d'intention décorative ». Malheureusement, ces signes étaient trop souvent apposés sur des surfaces comme les parois où les sièges d'un wagon, aussi bien que sur les murs d'une propriété publique ou privée.

[6] AM, Sucy info, n° 156, novembre 1994 ; Sucy flash, février 2000.

[7] Le Terminus était prévu de l’autre côté de la gare RER actuelle.

[8] AM, Sucy Info, n° 182, décembre 1999, page 9. La limite du trafic a été fixée en 1994 à un maximum de 250 000 mouvements d’avions à l’année. Ce chiffre n’a jamais été dépassé. Il s’était même stabilisé en 1999 autour de 235 000 mouvements annuels. Deux pistes étant utilisées simultanément, l’une pour les décollages, l’autre pour les atterrissages, on peut en déduire qu’il passait au-dessus de Sucy une moyenne de 322 avions par jour.

[9] AM, Sucy Info, n° 174, juin 1998, page 24 ; n° 179, juin 1999, page 21 ; n°181, octobre 1999, page 18 ; n°182, décembre 1999, page 4 ; n°188, décembre 2000, page 14 ; n° 189, avril 2001, page 14.