LE CADRE DE VIE

 

 

 

 

 

Au coeur vert de la Cité Verte

 

L’horizon arboré laisse entrevoir une tour encerclant la Cité vers le bas et une barre de la Fosse Rouge.

Au delà, sur l’autre rive du Morbras, on aperçoit les coteaux pavillonnaires
d’Ormesson puis ceux de Chennevières.

 

 

LE CADRE DE VIE

 

 

 

S

i les gens de Sucy appréciaient particulièrement la commodité et la fréquence des transports qui leur étaient offerts, ils étaient tout autant sensibles à ce qui faisait le quotidien de leur existence. Même si, selon une réflexion que l’on doit au professeur Michel Balard, adjoint au Maire et président de la Société historique de Sucy, le lieu d'habitation de la plupart des Sucyciens actifs se trouvait désormais dissocié du lieu de travail, ils sentaient bien, quoi qu’en eussent dit certains, que leur vie n'était pas accrochée à une quelconque cité dortoir[1].

 

 

L’électricité, le gaz et l’eau

 

Pourquoi ? Qu'est-ce qui marquait la différence ? Ce n’étaient pas les équipements modernes. L'électricité avait été longtemps espérée puis attendue[2]. Maintenant, elle arrivait partout et jusqu'aux maisons les plus excentrées. Ce qui malheureusement n’avait que peu progressé, c’était son mode de transport. Les lignes n’étaient qu’incomplètement enterrées. Des fils de toutes grosseurs, accrochés à de médiocres supports couraient le long des maisons, franchissaient les rues et les places, passaient par dessus les toits, faisaient même ici et là, avec les fils du téléphone, des sortes de nœuds que l’on aurait pu croire conçus par un bricoleur négligent ou un peu fou[3]. Par chance Sucy avait évité de justesse le passage d’une ligne à très haute tension sur son territoire. Celle-ci n’avait fait que couper l’extrémité sud-est de la Forêt Notre-Dame, mais déshonoré tout le nord de la commune de Boissy-Saint-Léger et gâché particulièrement les beaux paysages situés entre le vieux village et le château du Piple.

 

Le gaz ne présentait pas les mêmes inconvénients. Venant d’on ne savait où — que ce fût de Russie, d’Orient ou d’Afrique — il circulait soigneusement enfermé dans des canalisations bien étanches. Tout en le sachant dangereux à respirer et volontiers explosif, on l’utilisait pour le chauffage des habitations, avec cependant une prudence non dénuée de crainte révérencielle. Peu de gens se posaient par contre la question de savoir combien de temps encore l’on pourrait disposer des ressources de ce produit facile à utiliser mais pas forcément inépuisable !

 

Une même interrogation aurait pu être formulée à propos de l'eau potable. Naguère si difficile d'accès, elle était distribuée maintenant dans toutes les maisons par un réseau s'étendant sur plus de 89 kilomètres. Elle était puisée dans la Seine en amont de Corbeil, à Morsang, par la « Lyonnaise des eaux » qui lui faisait subir une succession de traitements : clarification, oxydation, filtration, décantation, désinfection. Sa qualité était constamment surveillée. Quant à son coût, il avait énormément augmenté depuis 1984. Aux habitants qui s’en plaignaient, on avait fait remarquer en l’année 2000 que le prix de 17,99 F le mètre cube paraissait d’autant moins excessif qu’il était un peu inférieur à la moyenne de l’Île-de-France (18,69 F). C’était en tout cas l’un des quatre tarifs les moins chers du Val-de-Marne (17,74 F à Boissy, mais 24,68 F à Villecresnes)[4].

 

Dans ce prix se trouvaient intégrées, pour 31 %, des redevances d'assainissement. En effet, l'eau utilisée doit peu ou prou être évacuée après consommation. Pour sa part, la Commune assurait le recueil et la conduite des eaux dites « usées », provenant à 99 % des maisons, vers la station d'épuration et de retraitement de Valenton. Elle venait aussi d'achever le programme consistant à séparer les eaux domestiques des eaux pluviales dont la destination n'était pas la même. Sucy était à ce moment l’une des rares municipalités à être pourvue d’un tel système séparatif[5]. Ces eaux étaient dirigées sur un réseau départemental chargé de les acheminer vers les exutoires naturels de la Marne et du Morbras. Par suite de l'urbanisation du plateau briard, et pour peu que survînt une forte pluie, les canalisations n'avaient plus une section suffisante pour absorber un excès momentané des eaux de ruissellement. C'est ce qui était arrivé le 25 août 1999 et surtout le 7 juillet 2000[6]. Dans le bas de Sucy, deux cents habitations et une vingtaine d'équipements publics, dont l'établissement des Portes de Sucy s’étaient trouvés inondés durant plusieurs heures. Mais en cela Sucy ne se différenciait nullement des communes, voisines ou non, ayant permis depuis une quarantaine d’années de construire sur des terrains placés historiquement sous la menace des eaux.

 

 

Les moyens de communication

 

Rien non plus en apparence ne distinguait Sucy des autres villes de banlieue pour l'accès aux moyens de communication. En 1914, il fallait citer cent habitants pour dénombrer un poste téléphonique. Très rares étaient en 2000 les maisons ou les appartements sans branchement téléphonique. La technique avait beaucoup progressé et les prix —mondialisation aidant — étaient devenus très abordables. Dans ces conditions, comment se contenter d’un banal appareil !

 

La mode était aux téléphones mobiles. Il y en avait à l’intérieur des habitations, reliés au réseau filaire de France Télécom. Mais seuls les combinés écouteurs-microphones s’étaient tout récemment affranchis du cordon entortillé qui les avait depuis toujours attachés au récepteur. Cette nouveauté révolutionnaire était déjà devenue une banalité. Le must, comme on disait alors par snobisme anglo-américain, était de posséder un véritable « Mobile », pouvant être utilisé n’importe où, pour joindre n’importe qui, au sujet de n’importe quoi. Le fait de téléphoner à tout propos dans la rue était devenu un acte courant. On voyait même de jeunes écoliers et écolières s’y adonner avec une sorte de passion et s’envoyer des messages à lire sur des écrans minuscules et rédigés sous une forme abrégée plus ou moins codée. Les maîtres commençaient à s’en inquiéter.

 

Verba volent ! Le téléphone mobile ne délivrait pas encore de documents écrits. C’était seulement chez soi ou sur les lieux de travail que l’on s’était depuis quelques années habitué à recevoir des télécopies, appelées aussi « fax ». On pouvait aussi, mais ce n’était pas encore très répandu, « surfer » avec son ordinateur pour chercher des informations ou consulter des « E mails » sur Internet[7].

C'est peut-être cette pléthore de moyens qui explique pourquoi l'on était moins exigeant que jadis en ce qui concernait le courrier postal. Il n'était plus distribué dans les maisons qu'une fois par jour. Et si on le relevait encore deux fois chaque jour dans les boîtes ad hoc, c'était seulement cinq journées et demi par semaine. Cent ans plus tôt, ces deux opérations étaient effectuées quatre fois et six jours sur sept, à l’arrivée comme au départ. En 2000, on se plaignait surtout quand les journaux quotidiens ou périodiques arrivaient tardivement à leurs abonnés... ou même n’arrivaient pas. La Poste était en voie de perdre sa régularité aussi traditionnelle que proverbiale[8]. C’était dû, disait-on, à l’application d’une nouvelle loi imposant aux entreprises de limiter le travail à trente-cinq heures hebdomadaires au lieu de trente-neuf précédemment. Ceci sans diminution de salaire, alors que le budget de l’État ne permettait pas d’augmenter le nombre des employés...

Heureusement, tout le monde possédait un ou plusieurs appareils radios : la TSF[9] comme on disait dans les années trente. En ce temps là, c’était de lourds objets fonctionnant avec des lampes fragiles, et reliés obligatoirement à une prise électrique. Depuis trente ans, la généralisation des transistors à piles avait multiplié la diffusion des postes portatifs dont certains pouvaient tenir dans la poche. Peu de voitures automobiles n’en étaient pas équipées. On y captait les nouvelles les plus récentes diffusées par plusieurs dizaines de postes émettant pour la plupart en modulation de fréquence (FM). Toutes les maisons disposaient d'au moins une Télévision couleur apportant à domicile, sur des écrans assez petits et très encombrants, des scènes d'actualités animées, sonorisées et colorées, mais encore sans relief. Les possibilités, considérées en ce temps comme assez extraordinaires, de ces étroites et lourdes « lucarnes » se trouvaient multipliées par la possession de paraboles. Bien que l'esthétique en souffrît quelque peu, on en voyait de plus en plus installées sur les toits ou sur les balcons, pointées en direction des satellites de retransmission. Ce qui permettait à leurs utilisateurs de se mettre jour et nuit en communication avec des images du monde entier.

 

La Médecine

Il n'était pas nécessaire d'aller aussi loin pour se soigner. Les résidents avaient la possibilité de visiter sur place vingt-trois médecins généralistes et dix-neuf médecins spécialistes. Lesquels étaient susceptibles de les diriger, sans qu'ils eussent à sortir de la commune, sur un centre de radiologie, deux laboratoires d'analyses et, pour les cas les plus graves, sur le centre chirurgical de Sucy où opéraient, mais pour peu de temps encore, cinq chirurgiens[10]. Dix-huit cabinets dentaires étaient installés dans la commune, ainsi que des membres de professions paramédicales : dix-sept kinésithérapeutes, dix infirmières, huit orthophonistes, quatre pédicures podologues et un audioprothésiste, un orthoptiste et un psychologue psychothérapeute.

 

 

 

 

 

École maternelle dans le quartier du Fort

 

La Fontaine de Villiers est le nom donné au cours d’eau à forte pente qui prend sa source dans le Bois des Bouleaux et se jette dans le Morbras tout proche.  L’étroite mais assez profonde vallée qu’il a creusée, sépare Sucy de Noiseau. Ce ruisseau à l’abandon n’est plus depuis longtemps ce qu’il avait jadis été. Mais il borde sur sa rive sucycienne la « Coulée verte », une belle bande de verdure aménagée et entretenue par la Commune. C’est à quatre cents mètres de là.

 

 

 

 

Le Lycée Montaleau

 

Nous sommes dans le parc de l’ancien château et sur la rue du même nom qui descend vers la gare.

 Il paraît évident que les architectes ont eu le louable souci d’édifier un bâtiment scolaire ne jurant pas trop avec un site qui avait été prestigieux et en avait gardé de beaux restes.

Que penser en revanche de l’usage irresponsable qui est fait de ces murs clairs, bien à la vue de tous ceux et de toutes celles qui passent journellement par cet endroit ?

Quatre boutiques d'opticiens et dix officines de pharmacie complétaient un équipement médical particulièrement étoffé. Cela n'était pas spécifique à Sucy, mais démontrait bien l'importance prise vers l’an 2000 par le secteur de la santé. C'était bien différent au début du XXe siècle. Il en était de même pour soigner les animaux. Aucun vétérinaire ne résidait encore en 1914 dans cette commune dont l'activité dominante était pourtant l'agriculture. A la fin du XXe siècle, Sucy ne comptait pas moins de trois cliniques vétérinaires. Toutefois ce n'était plus des chevaux ou des vaches que l'on y soignait, mais à peu près exclusivement des chiens et des chats.[11]

 

 

L’Enseignement

 

En matière de capacité scolaire également, Sucy n'était ni plus ni mieux loti que les communes voisines. À la rentrée d'octobre 1997, les parents disposaient encore pour leurs plus jeunes enfants de neuf écoles maternelles et de sept écoles élémentaires, regroupées en dix établissements répartis sur tout le territoire, donc faciles d'accès.

 

Les plus anciennes, même rénovées, avaient gardé un peu du charme des écoles primaires villageoises[12]. Mais depuis plusieurs années des unités avaient été fermées par l'inspection académique qui ne voulait pas descendre en dessous d'une moyenne de trente enfants par classe[13]. Il n’y avait plus comme en 1914 d’écoles de garçons d’un côté, et d’écoles de filles de l’autre. Depuis 1968, toutes les classes étaient mixtes. Bien qu’on eût longtemps hésité avant 1945, à Sucy comme ailleurs, à rompre brutalement avec une coutume de séparation scolaire remontant aux plus vieilles civilisations, ce mélange de jeunes gens des deux sexes dans les locaux scolaires n’était plus contesté, ici comme partout en France, que par des esprits généralement considérés comme rétrogrades !

 

Pour le reste, c'était notamment par la qualité et la diversité de son enseignement secondaire que Sucy commençait à se différencier de ses voisins. On pouvait y voir le résultat d'une vieille histoire débutée il y a quarante ans. La commune y avait progressivement gagné deux collèges d'enseignement secondaire et deux lycées. Conçu à l’origine comme collège expérimental, le Collège du Parc, continuait à profiter de l'environnement exceptionnel du Parc des sports qui avait été choisi pour lui dès sa création. Le Collège du Fort était venu plus tardivement, en 1972, pour parachever l’aménagement du quartier moderne dont il portait le nom.

 

Ancien groupe scolaire transformé en collège d’enseignement technique, le Lycée professionnel Montaleau était devenu l'une des fiertés de la commune. Il le devait en partie à sa section hôtelière créée en 1981. Dans tout le Val-de-Marne, c'était la seule école publique des métiers de la cuisine et de l'hôtellerie. Ses meilleurs élèves avaient la chance de pouvoir effectuer des stages dans les plus grands établissements parisiens. En 1992, une lycéenne avait remporté brillamment la Coupe Georges Baptiste qui récompensait le meilleur postulant des lycées hôteliers d'Europe. Montaleau y avait acquis une renommée internationale[14]. Celle-ci s’était encore renforcée grâce à une autre jeune élève, Élodie Benjamin, lauréate en juillet 2000 du concours général national de restauration. Ce qui n’était pas rien dans un pays tel que la France où la gastronomie était toujours considérée comme l‘un des derniers sujets incontestés de fierté nationale.

 

En 1990, il manquait encore à Sucy un établissement d’enseignement secondaire polyvalent. Deux ans plus tard, cette lacune allait être brillamment réparée[15].Dès son inauguration le 12 octobre 1992 — cinq cents ans jour pour jour après la découverte de l'Amérique — le Lycée Christophe Colomba eu la réputation d’un établissement remarquable. Aussi bien de par son cadre forestier, en bordure du bois du Piple, et son architecture adaptée au lieu comme aux besoins, que par la qualité de son enseignement à dominante scientifique. Il était notoire que les résultats aux examens l’avaient placé jusque là au-dessus de la moyenne[16]. Des familles choisissaient de s’installer à Sucy rien que pour permettre à leurs enfants de bénéficier de ce privilège en court-circuitant la carte scolaire[17]. On pouvait même y faire du grec et du latin. Ce qui était devenu en ces temps une sorte de luxe.

 

Tout comme à l'Institution du Petit Val. Depuis son ouverture en 1890, il ne s’était agi que d’un pensionnat ouvert, dans le château du même nom, à des jeunes filles de bonne famille[18]. Tout en se modernisant, ce vénérable établissement avait cédé lui aussi à la mode impérative de la mixité. Il était devenu à la fois une école, un collège, un lycée privé catholique sous contrat avec l'État. Mais il ne proposait plus que la demi-pension ou l'externat. Les filles comme les garçons pouvaient y entrer en maternelle et en ressortir avec un baccalauréat série littéraire (L), économique et social (ES), ou scientifique (S).

 

 

 

L’Institution du Petit Val

 

La photographie a été prise depuis la rue Albert Pleuvry. Le haut mur du parc qui isolait maîtres et élèves est tombé récemment. Était-ce un sacrifice aux conceptions de 1968 ? La grille laisse. apparaître des bâtiments composites qui enserrent, au fond à droite, ce qui reste de l’ancien château du marquis de Marigny et de Lilie Moulton. La chapelle, construite à la fin du XIXe siècle, signe l’origine religieuse de cet établissement scolaire.

 

 

L’entrée du lycée Christophe Colomb

 

Ouvert en 1992, ce lycée n’est pas seulement remarquable par son cadre. C’est surtout l’un des plus modernes de l’Île-de-France. L’établissement est polyvalent. Il propose aux élèves de nombreuses possibilités dans le choix des options ouvertes. Comme le montre la photographie, c’est aussi un établissement mixte.

 

 

 

 

 

L’Institution du Petit Val côté parc

 

Cette photo, prise à partir de l’avenue Marceau, complète la vue de la page précédente. Le château, qui est peut-être l’œuvre, au milieu du XVIIIe siècle, de l‘illustre architecte Jacques Ange Gabriel, apparaît ici avec son élégante et imposante façade. Les affairistes-lotisseurs de 1888 avaient eu l’heureuse idée de préserver l’édifice et 5 hectares de son parc, qui en comptait à ce moment 25. Le lot a été acheté en 1890 par une congrégation pour y fonder l’École du Petit Val.

Les élèves savent-ils apprécier à sa juste valeur la possibilité qui leur est donnée de travailler, à mi-chemin entre le centre de la ville et la gare, dans un tel environnement de verdure et de beauté ?

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

1. Le lac du Grand Val

2. La piscine d’été dans le quartier du Fort

3. Le Centre culturel de la ferme du Grand Val

4. Le Parc omnisports

 



[1] AM, Sucy Info, n° 183, Spécial an 2000, Michel BALARD, « Sucy 2000 ans et plus ».

[2] Voir Nouvelle Histoire de Sucy-en-Brie, tome IV, Le XXe siècle (1914-2000), chapitre 5 rédigé par Henri BOULET, pages 153 à 156.

[3] La photographie ci-contre prise au n° 11 de la  place de l’Église est un exemple de cette absence de souci esthétique.

[4] AM, Sucy Info, n° 182, décembre 1999, rapport de Jean-Pierre CHAFFAUD, conseiller municipal, délégué à l’Assainissement ; n° 187, décembre 2000, rapport annuel sur l’eau et l’assainissement.

[5] AM, Sucy Info, n°179, juin 1999.

[6] AM, Sucy Info, n° 187, septembre/octobre 2000 ; n° 189, avril 2001.

[7] Réseau télématique international utilisant un protocole de communication commun (World Wide Web, WWW ou Web, toile d’araignée mondiale, communément appelée la Toile.

[8] Les Anciens ne disaient-ils pas d’une chose facile et sure qu’elle « passe comme une lettre à la poste » !

[9] T.S.F. : Télégraphie sans fil.

[10] Dès le début des années 2000, il a été transformé en « Policlinique Montaleau » (du latin Polis, ville) pour consultations spécialisées et chirurgie ambulatoire, mais sans hospitalisation.

 

[11] Annuaire de Sucy pour l’année 2000.

[12] AM, Sucy Info, n° 180, juillet 1999, page 6.

[13] AM, Sucy Info, n° 170, octobre 1997, lettre du 30 septembre 1997.

[14] AM, Sucy Info, n° 181, octobre 1999.

[15] AM, Sucy Info, n° 124, septembre 1990.

[16] AM, Sucy Info, n° 186, juillet 2000.

[17] La carte scolaire fixée par l'administration de l'Éducation nationale retirait en principe le choix de l'école, du collège ou du lycée, aux familles inscrivant leurs enfants dans des établissements d'enseignement public,.

[18] Voir Nouvelle Histoire de Sucy-en-Brie, tome III, La Grande Mutation (1804-1914), chapitre 12 rédigé par Geneviève RIBADEAU-DUMAS, pages 247 et suivantes.